Les résultats d’une étude menée il y a quelques semaines sur la reconstitution cérébrale des souris sont très encourageants. Une nouvelle molécule de synthèse pourrait, en effet, améliorer de façon significative la santé de patients souffrant de maladies neurologiques.

[dropcap type= »circle » color= »#ffffff » background= »#555555″]L[/dropcap]a bonne nouvelle est tombée la semaine dernière : la molécule LM22A-4 offrirait enfin de nouvelles perspectives aux malades victimes d’accident vasculaires ou de pathologie cérébrales telles que les maladies de Parkinson et d’Alzheimer.

[dropcap type= »circle » color= »#ffffff » background= »#555555″]C[/dropcap]ette structure moléculaire connue depuis 2007 a déjà fait l’objet de plusieurs études par une équipe de chercheurs à l’Université de Cleveland. Mais de plus récents travaux viennent de démontrer que la LM22A-4 permettait la restauration des fonctions cognitives et serait capable de régénérer le tissu cérébral. Une grande innovation dans le milieu médical !
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oncrètement, elle serait la première molécule de synthèse capable de réparer la destruction des parties du cerveau suite à un AVC. L’avantage de cette trouvaille réside également dans la facilité et le coût de production de la structure, qui peut s’introduire dans le système nerveux via injection intranasale. Aucun effet secondaire agressif n’a été observé tant au niveau cellulaire qu’en terme d’inflammation.

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es premiers résultats des études menées sur la souris sont très positifs et seraient très certainement transposables à l’homme. Il faudra néanmoins compter trois ans avant que le produit soit mis en marché et prescriptible.

L.B. pour Newzitiv.com